CAUMIANT : Plaqueminier du Japon (2017, Artothèque, Lg)

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CAUMIANT Damien, Plaqueminier du Japon

(photographie, 53 x 53 cm, 2017)

Originaire de Stavelot, Damien CAUMIANT (né en 1982) a suivi des études à l’ESA Saint-Luc Liège, puis à l’ERG à Bruxelles.

“[…] La pratique de Damien Caumiant s’articule autour de l’idée du déplacement, de l’exploration du territoire et de l’espace ; elle est avant tout liée au sens d’un profond dépaysement et d’un questionnement itinérant, plus ou moins rêveur, dans la lignée des photographes (Philippe Herbet en tête) qu’il fréquente ou dont, avec prudence et modestie, il admire le travail…” (d’après WEGIMONTCULTURE.BE)

Cette photographie fait partie de son premier livre, Construire un feu, paru chez Yellow Now (collection Angles vifs) en 2019.

Quelques images, quelques voyages
s’engager
s’abandonner (parfois) aux formes, aux
couleurs, à la vie
marcher, éprouver, épuiser et s’épuiser
respirer
marcher encore
trouver son rythme
glaner
la démarche est une question d’allure. (D.Caumiant)

Et pourquoi pas emprunter cette oeuvre gratuitement à l’Artothèque de la Province de Liège ? N’attendez plus, foncez au 3ème étage du B3, le centre de ressources et de créativité situé place des Arts à B-4000 Liège…

[INFOS QUALITE] statut : actualisé | mode d’édition : compilation (droits cédés) et mise à jour par wallonica.org  | source : Artothèque B3 | commanditaire : Province de Liège – Culture | contributeur : Philippe Vienne | crédits illustrations : © Damien Caumiant | remerciements à Bénédicte Dochain, Frédéric Paques et Pascale Bastin

JAMPUR FRAIZE : Roquette Man (2020, Artothèque, Lg)

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JAMPUR FRAIZE (MAZET, Bernard), Roquette Man

(impression numérique, 18 x  18 cm, 2020)

Né en 1964 à Bagnols sur Cèze (Gard), JAMPUR FRAIZE part étudier l’illustration et la bande dessinée en Belgique, aux Beaux-Arts de Saint Luc à Liège en 1984. Il commence à auto-publier régulièrement des fanzines ce qui lui permet de faire connaître son travail aux éditeurs indépendants chez qui il publie des bandes dessinées depuis 1995. Parallèlement à ça, il travaille pour la presse adulte et pour enfants, réalise des illustrations (pochettes de disques, affiches d’évènements, illustrations publicitaires, cartes de vœux, faire-parts…) et expose régulièrement ses travaux. Musicien et passionné de musique, il expose souvent dans le milieu du jazz et du rock.

Ses dessins sont publiés dans la presse chez Fluide Glacial, Psikopat, Rock & Folk, Jazzman, Spirou, la Gazette du Rock, La Mouise, Popo Color , PLG, le Matin, , Picsou Magazine, Capsule Cosmique, Telemoustique, Phileas et Autobule, la Gazette du rock… (d’après Bernard Mazet)

Illustration figurant dans son livre Le monde merveilleux du rock (La Cafetière, 2020). Ce livre retrace l’histoire du rock en compilant illustrations faites pour l’occasion et illustrations déjà publiées dans la revue La Gazette du Rock. Comme à l’accoutumée, on retrouve dans ce dessin de Jampur Fraize musique, humour et jeu de mots.

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DEPREZ : Martine (2021, Artothèque, Lg)

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DEPREZ Françoise, Martine

(photographie, 40 x  60 cm, 2021)

Françoise DEPREZ a suivi des cours du soir à l’Académie des Beaux-Arts de Liège, avec Frédéric Materne comme professeur. Elle a ensuite complété sa formation en suivants différents ateliers, des cours à L’Académie d’été (AKDT) notamment avec Sandrine Lopez, ainsi que plusieurs workshops en ligne dispensés par Sébastien Van Malleghem.

Depuis 2016, elle a participé à diverses expositions collectives. En 2021 a eu lieu l’exposition “Toujours l’eau” à la Cité Miroir, à Liège, exposition liée à la parution d’un livre du même titre.

Cette photographie est tirée du livre “Toujours l’eau”, dont les textes sont de Caroline Lamarche (éd. du Caïd, 2021).

Après les terribles inondations qui ont eu lieu dans les vallées de la région liégeoise, Françoise Deprez et Caroline Lamarche sont parties à la rencontre des habitants. On voit ici la responsable de la bibliothèque de Pepinster, sur son lieu de travail dévasté.

“J’écoutais attentivement les récits et m’imprégnais des lieux afin de capter au mieux les émotions véhiculées par les personnes ainsi que l’état des murs, la lumière qui filtrait par endroit, avant de prendre des photos que je voulais sobres et justes. […] Quant aux photographies, elles sont comme les mots: simples, directes, frontales, mais respectueuses. Au-delà des portraits, elles font voir le délabrement, le dénuement, mais elles laissent aussi deviner la volonté de reconstruire et parfois tout simplement le soulagement d’être encore là.” (Françoise Deprez)

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FELGENHAUER : Autel (2020, Artothèque, Lg)

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FELGENHAUER Barbara Salomé, Autel

(photographie, n.c., 2020)

Née à Huy en 1992, Barbara Salomé FELGENHAUER est diplômée de l’atelier de photographie à l’ESA Saint-Luc à Liège en 2013 et de l’ENSAV La Cambre à Bruxelles en 2022. Elle obtient son master avec la mention grande distinction et le Prix de la Fondation Boghossian 2022 avec son projet Terrapolis. En 2023, elle est lauréate du Prix Fintro, Bruxelles. La même année, trois de ses photographies ont intégré la collection publique du BPS22 en 2023. 

Elle travaille actuellement à Bruxelles dans son atelier au sein des Ateliers Mommen.

De la série “J’ai rêvé l’obscur”, d’après le livre Rêver l’obscur. Femmes, magie et politique de Starhawk, publié en 1982 aux USA.

“J’ai rêvé l’Obscur s’inspire librement d’écoféminisme et de ses dimensions païenne et spirituelle. Il propose une autre vision du monde inspiré de diverses croyances, fait de déesses, de vierges et de sorcières, de rocailles et de grottes, de mythes et de rêves…
Ici, on parlera de puissance plutôt que de pouvoir. C’est l’univers des forces invisibles de la Nature, un monde où l’on (re)ferait corps avec la Terre. Il relie le spirituel au politique, le sacré au profane. Ce propos n’a aucune visée dogmatique. C’est une attraction, une spiritualité qui m’est propre.” d’après BARBARASALOMEFELGENHAUER.BE

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LE BRUCHEC : Sans titre (2021, Artothèque, Lg)

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LE BRUCHEC Marie, Sans titre

(gravure sur plexi, n.c., 2021)

Marie Le Bruchec vit et travaille à Rouen, en France. Architecte de formation, elle a ensuite entrepris des études de photographie à l’Université de Paris VIII. Les Polaroïds arrachés lui ont permis de basculer du photographique au graphique, permettant une liberté d’utilisation de différents média (photographique, monotype, gravure peinture), et donnant à l’œuvre un caractère hybride.

Les œuvres de l’artiste se promènent entre le réel et la fiction. Elle pratique un travail sur le détournement du réel, sur le pouvoir de l’illusion de la photographie.

“C’est un univers végétal, toujours à la limite entre paysage et abstraction, entre graphie et photographie, sur le fil, la crête en quête de légèreté” (M. Le Bruchec)

Cette œuvre fait partie de la série Gravures noires.

“Nous nagions vers le large, un violent orage arrive sur nous : le ciel, très vite obscurci, s’est chargé de noir. La pluie frappait si fort la mer que les gouttes rebondissaient à la surface de l’eau, devenant des milliers de petites boules lumineuses en suspension. Nous pouvions croire à un essaim de lucioles, une envolée de lanternes. La limite entre l’eau et l’air n’était plus, nous étions face à une apparition magique et inquiétante à la fois.” (M. Le Bruchec)

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CHAUSSON : Sorcière (s.d., Artothèque, Lg)

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CHAUSSON Julia, Sorcière

(gravure sur bois, n.c., s.d.)

Julia CHAUSSON est née en 1977. Diplômée de l’École des Arts Décoratifs de Paris, formée à la gravure, elle a publié de nombreux livres pour les enfants : La clé sous la porte aux éditions À pas de loups, Un flamant dans la ville, La pluie est amoureuse du ruisseau aux éditions Rue du monde, et beaucoup d’autres…

Elle a créé une collection de comptines (Les petits chaussons aux éditions Rue du monde), livres en carton destinés aux tout-petits dès 6 mois.

Julia Chausson réalise également des livres d’artiste, des affiches, des logos, du mobilier et des jeux pour les enfants.

Dans son atelier aux portes de Paris, Julia Chausson crée des images en gravure sur bois. Ses images, très graphiques, sont composées d’aplats de couleurs et de blanc.

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FAIVRE D’ARCIER : Offrande de fleurs (2016, Artothèque, Lg)

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FAIVRE D’ARCIER Virginie, Offrande de fleurs

(technique mixte, 79 x 59 cm, 2016)

Virginie FAIVRE D’ARCIER a étudié les Arts Plastiques à Bruxelles et la gravure à Liège.

Après une licence en Anthropologie, et un mémoire sur les sâdhus en Inde, elle s’est expatriée au Vietnam, au Sénégal et au Laos. Durant ces années elle a continué ses recherches en Art en parallèle à une constante formation sur les pratiques des métiers d’art traditionnel et la culture des pays qui l’ont accueillie.

L’artiste passe du tissu (teinture, tissage, broderie), à la céramique, à la laque et au papier.

“[…] Un ami graveur ayant perdu sa jeune épouse, au lieu de lui porter une fleur tous les jours sur l’hôtel aux ancêtres, il a imprimé un lotus, il l’imprimera tous les jours pour elle. C’est ce lien d’amour exprimé par les fleurs et la gravure qui m’a amenée à cette recherche sur les offrandes et la place des fleurs dans le bouddhisme et la vie laotienne. Cela m’a conduit à observer la complexité de la nature, la répétition des formes qui sont toutes différentes, les nuances des couleurs et la lumière forte du soleil laotien. Le bouddhisme enseigne que dans les plus petits détails d’une feuille on y retrouve toute la grandeur du monde. J’ai joué avec la lumière, coupé le papier tel le soleil laotien découpe les formes et reconstruit la couleur. […]”  (d’après VFAIVREDARCIER.WIXSITE.COM)

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BEATOVE : Milkomeda 3 (2012, Artothèque, Lg)

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BEATOVE Angel, Milkomeda 3

(photolithographie, 47.5 x 34.5 cm, 2012)

Né en 1949, originaire de Saragosse en Espagne, Angel BEATOVE vit et travaille à Liège, où il a fondé la galerie d’art l’Inventaire. Il a fréquenté l’Académie des Beaux-Arts entre 1969 et 1978, année où il a été lauréat du prix Germeau Abry.

Son œuvre se construit sous forme de séries thématiques et procède d’un questionnement sur l’humain et sa relation au monde.

Aujourd’hui, il travaille essentiellement l’art du collage, toujours dans cet esprit d’explorer les cultures et leur croyance pour repositionner l’homme dans des questionnements existentiels universels et intemporels. Il le multiplie en réalisant des impressions numériques ou de la photolithographie.

“La série Milkomeda est née de la lecture de textes scientifiques relatifs à la théorie de collision des galaxies, ainsi que du fruit de mon imagination.
La collision entre Andromède et La Voie lactée est une prédiction de collision de galaxies. Andromède se dirige inexorablement vers La Voie lactée […] les deux galaxies se percuteront frontalement et elles fusionneront complètement pour former une galaxie de forme elliptique : Milkomeda” (Angel Beatove)

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JAUNE : Juanito (2022, Artothèque, Lg)

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JAUNE, Juanito

(pochoir sur bois, 29 x 20 cm, 2022)

Jaune, de son vrai nom Jonathan Pauwels (né en 1986), est un artiste-pochoiriste bruxellois. Depuis 2011, il crée des projets artistiques reprenant, toujours, les mêmes figures principales : des ouvrier·e·s de la voirie d’une quarantaine de centimètres de haut. Ce motif récurrent provient de sa propre expérience en tant que tel, lorsqu’il était étudiant, l’été, à Bruxelles. Dès lors, il a pu expérimenter l’invisibilisation de ce corps de métier mais aussi son caractère essentiel. Dans ses compositions, Jaune propose des mises en scène de travailleur·euse·s qui ne travaillent pas, dans des situations extravagantes, drôles et parfois même absurdes :  une bataille contre des sacs poubelles à dos de chats, un personnage soulevé par cinq pigeons,… Pour Jaune, c’est une manière de suggérer aux passant·e·s l’importance de ces métiers et de les visibiliser, de manière ludique et subtile, au sein de la ville. (d’après PARCOURSSTREETARTBRUSSELS)

Depuis peu, l’artiste réalise des pochoirs sur bois représentant un de ses personnages tagués sur les murs des villes. C’est la série des “mini-mecs”, qui mesurent une trentaine de centimètres de haut et qui peuvent se placer sur des étagères ou se suspendre aux armoires. Tous ont un prénom et sont différents. Celui-ci est Juanito.

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GASPAROTTO : Sans titre (2012, Artothèque, Lg)

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GASPAROTTO Lara, Sans titre

(photographie, 38 x 53 cm, 2012)

Née en 1989, Lara GASPAROTTO a été diplômée en 2010 de la section photo de l’ESA Saint-Luc, Liège.

Le concours “Emerging Talents” de View Photography Magazine, l’édition 2009 de la Biennale de Marchin et du Condroz (Sweet Sixteen) et l’expo Borders/No Borders” (organisée par Les Chiroux à Berlin) ont fait connaître son travail auprès d’un public averti. En 2012, se tiennent ses deux premières expos solo, chez Stieglitz 19 à Anvers et aux Brasseurs à Liège (dans le cadre de la BIP). La même année, elle édite son premier livre, Sleepwalk.

Photo de couverture du livre Sleepwalk, Yellow Now, Angles Vifs, 2012

“Ce sont des moments simples du quotidien, mais ils sont imprégnés de symboles, de rêve, d’imaginaire ou de romantisme. De certains éclats associés, du sens naît ; à chacun d’y trouver ses propres références, ses sensations. Dans la pierre brute apparaissent des formes, une lumière peut provoquer la beauté dans le morne, révéler la couleur du béton. Je dévoile, inconsciemment peut-être, ma propre nostalgie au travers de portraits évocateurs de ma génération en manque de repères. Dans notre ordinaire, il y a éclats de merveilleux (…).” – Lara Gasparotto

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RENARD : Terminalis (2018, Artothèque, Lg)

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RENARD Didier, Terminalis

(héliogravure sur cuivre,  28 x 35 cm, 2018)

Né en 1972, Didier RENARD a été formé en photographie à Saint-Luc à Liège, ville où il vit et travaille.

Membre fondateur de l’atelier de lithographies et de gravures L’AgaYon  et de la Galerie d’art Galerie23, il est également membre du groupe Exp’OFF.

Il pratique la photographie “déambulatoire”, captant des images à l’aide d’appareils techniquement défaillants, usés, obsolètes, bons pour le rebut. Depuis plusieurs années maintenant, il essaye de créer un lien entre photographie et gravure sur cuivre.

La photographie et la gravure constituent les deux techniques par lesquelles Didier Renard effectue ses recherches et ses expérimentations. L’image révélée et l’image imprimée se conjuguent au gré de leurs possibilités quasi infinies. La première est un regard qui capte un fragment de réalité, la seconde la modifie, l’altère ou la reconstruit, semblable et différente à la fois. Cette technique double dévoile une première interrogation sur la notion même de “réalité”, trop souvent et bien trop vite associée à celle de “réalisme” dès qu’il est question de photographie. (Bernard Talmazan, in Actuel L’estampe contemporaine, n°22)

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PETITJEAN : Audrey et Lisa (2015, Artothèque, Lg)

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PETITJEAN Stéphanie, Audrey et Lisa

(photographie argentique, 50 x 33 cm, 2015)

Jeune photographe belge, Stéphanie PETITJEAN a poursuivi, après un passage à Paris, un travail à dominante autobiographique : un questionnement à la fois radical et poétique de son milieu familial, entamé à l’occasion de son travail de fin d’études à l’ESA Saint-Luc, à Liège. Elle a ensuite orienté plus précisément ses recherches vers les relations intimes, avec soi-même ou au sein du couple, lors d’un projet exposé durant Les Promenades Photographiques en Condroz de 2015, tout en suivant des études en réalisation vidéographique  à l’Ecole Agnès Varda de la Ville de Bruxelles. (d’après E. d’Autreppe)

Cette photographie fait partie du livre Prudents comme les serpents (éd. Yellow Now, Bxl, 2023).

“[…] Ce travail d’exploration, toujours en cours, se fait tour à tour explicite ou allusif, réflexif ou métaphorique – mais surtout attentif en permanence au rapport à la lumière qui nimbe les êtres, ses complices ou ses modèles. […] Ce sont des photos souvenirs, défoulements chargés de symboles ou d’émotions, notes et constats bruts voire brutaux par moments, instants de tendresse et d’apaisement à d’autres, sans autre fil conducteur esthétique que l’intensité, le besoin de voir et de comprendre, et d’avancer encore…” (d’après E. d’Autreppe)

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VAN ASSCHE : Etreinte (2023, Artothèque, Lg)

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VAN ASSCHE, Etreinte

(eau-forte et aquatinte, 30 x 21 cm, 2023)

Mathieu VAN ASSCHE vit et travaille à Bruxelles. Formé à l’Ecole supérieure des Arts Saint-Luc à Bruxelles. Graphiste de profession (Studio Dirk), il est également illustrateur, graveur et photographe.

En 2018, il cofonde les éditions Le Mulet. Depuis 2017, il expose régulièrement ses photographies, ses gravures et ses “images sabotées”. En 2021, il a reçu, pour ses gravures miniatures, le Prix de la Gravure et de l’Image imprimée décerné par le Centre de la Gravure et de l’Image imprimée, La Louvière. L’année suivante, il a sorti son premier livre, Mascarade, aux éditions CFC.

Durant son enfance, l’artiste est fasciné par les monstres du livre Max et les maximonstres de Maurice Sendak. Ce thème des monstres, dessinés de manière un peu enfantine, est présent dans toute son œuvre. Mais loin d’être effrayants, nous sommes face à des monstres gentils, drôles, et d’une grande douceur. Cette gravure nous parle du deuil.

Un autre thème cher à l’artiste est le masque carnavalesque, issu des fêtes païennes

Généralement de petit format, ses gravures forcent le spectateur à s’approcher pour prendre le temps d’observer et d’apprécier l’œuvre dans son ensemble.

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OGURO : Hem (2021, Artothèque, Lg)

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OGURO Kumi, Hem

(photographie, n.c., 2021)

Kumi OGURO (née en 1972) s’est formée à la photographie à Londres puis à Anvers. Elle a ensuite suivi un postgraduat en Arts, media, design à la Haute Ecole Saint Luc à Bruxelles, et en étude des films et culturelle visuelle à l’Université d’Anvers. Elle vit et travaille actuellement à Anvers.

Ses thèmes de prédilection sont les personnages féminins, des fragments de corps, des chevelures, des intérieurs vides, des jeux de lumière, des bouts de tissu et de laine… Elle crée un monde onirique, parallèle au monde réel, dans lequel elle invite le spectateur à entrer et à y intégrer son propre imaginaire.

Cette photographie fait partie du deuxième livre d’artiste de Kumi Oguro, intitulé Hester (Stockman art books, 2021).

Hester est le titre de l’une des photographies du livre, et est tiré d’un personnage du roman Une prière pour Owen, de John Irving. J’ai été attirée par cette femme fictive, à cause de sa nature extrême ; elle est extravertie, agressive et chaotique, mais également sensible, aimante et charmante. Avec beaucoup d’affection, je pourrais appeler toutes les femmes dans mes photographies Hester.”  (Kumi Oguro)

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COUCHARD : Sotyse S.C.A.R. (2019-2020, Artothèque, Lg)

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COUCHARD Roman, Sotyse S.C.A.R.

(pointe sèche sur plexiglas,  63 x 96 cm, 2019-2020)

Après une formation de bachelier en art plastique et de l’espace, section peinture, à l’institut supérieur Saint-Luc de Liège, Roman COUCHARD (né en 1994) poursuit sa formation à l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles par un master en gravure à finalité didactique.

En 2020, il obtient le prix de la gravure et de l’image imprimée (La Louvière) avec mention du jury, et l’année suivante il est lauréat de la triennale internationale de la gravure de la Boverie (Liège) et de la Fondation Boghossian (Bruxelles).

“Dans un monde à bout de souffle, où l’illusion de l’invention est présente pour toujours plus de consommation. Où tout est jetable et périssable rapidement, pour les hommes comme pour les objets. Je suis un produit de la génération Y […].

Dans ce contexte en tant que plasticien, j’ai d’abord choisi de réaliser une série d’estampes sur le patrimoine architectural.

Actuellement, mes recherches s’orientent plus vers le patrimoine industriel. En utilisant du plastique comme support pour mes matrices. Je change la perception que nous avons de ce matériau. Celui-ci ne devient plus un rebus prématuré mais est réutilisé, classé et archivé” (Roman Couchard)

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CORVAISIER : Sans titre (s.d., Artothèque, Lg)

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CORVAISIER Laurent, Sans titre

(sérigraphie, 70 x 50 cm, s.d.)

Originaire du Havre, Laurent CORVAISIER (né en 1964), qui dessine depuis sa tendre enfance, s’installe à Paris pour se former à l’ENSAD, l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, à Paris.

Intéressé par l’illustration jeunesse, Laurent démarche les éditeurs avec ses carnets de voyage. Son style séduit, un premier livre voit le jour, puis un autre… Depuis Laurent est peintre mais aussi illustrateur, avec près d’une centaine d’ouvrages à son actif.

Voyageur dans l’âme, Laurent a visité de nombreux pays qui ne cessent de nourrir sa peinture. Ce qui l’inspire plus que tout, c’est la vie qui l’entoure : les animaux, la nature, la ville, sa femme, ses enfants, les gens en général…

Laurent Corvaisier est surtout connu pour ses peintures qui, comme ses artistes de référence – Matisse, Basquiat, Léger… – nous emmènent dans des mondes multicolores et foisonnants. Il fait danser les couleurs sur tous les supports : papier, toile, bois, murs.

On retrouve dans cette gravure noir et blanc ce monde foisonnant, rempli d’animaux. (d’après Galerie Robillard, Paris)

Et pourquoi pas emprunter cette oeuvre gratuitement à l’Artothèque de la Province de Liège ? N’attendez plus, foncez au 3ème étage du B3, le centre de ressources et de créativité situé place des Arts à B-4000 Liège…

[INFOS QUALITE] statut : actualisé | mode d’édition : compilation (droits cédés) et mise à jour par wallonica.org  | source : Artothèque B3 | commanditaire : Province de Liège – Culture | contributeur : Philippe Vienne | crédits illustrations : Laurent Corvaisier ; babelio.com | remerciements à Bénédicte Dochain, Frédéric Paques et Pascale Bastin

DEGUISLAGE : Poison (2015, Artothèque, Lg)

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DEGUISLAGE Delphine, Poison

(moulage en plâtre, 20 x 36 x 10 cm, 2015)

Née en 1980 à Namur, Delphine DEGUISLAGE est une plasticienne qui vit et travaille à Bruxelles. En 2005, elle a obtenu un Master en Métiers des Arts et Expositions à l’ENSAV de La Cambre, complété en 2021 par un Master spécialisé en études de genre (formation unique sur les questions liées au genre et à la sexualité).

Depuis 2007, elle expose plusieurs fois par an, principalement en Belgique et en France.

L’artiste exprime son art via tous les moyens mis à sa disposition : peinture, sérigraphie, sculpture, gravure, photographies, collages numériques, créations textiles

“Delphine Desguilage met en scène des morceaux de corps de femme en parallèle avec des objets utilitaires ou domestiques réinterprétés, souvent choisis pour leur fonction et/ou leur symbolique […] C’est le corps qui s’empare de l’art plutôt que l’art qui s’empare du corps. Le formalisme est physique, l’anthropomorphisme féminin, l’objet corporalisé, l’espace habité […]” (Fabienne Audéoud, in Fight, Fore, Free, To, One, 2017)

Les questions de genre, de représentation des corps, de pratiques sociales et des désirs sont abordés dans l’œuvre de cette artiste.

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PORET : Souvenirs Audresselles 2 (2022, Artothèque, Lg)

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PORET David, Souvenirs Audresselles 2

(impression sur porcelaine, 14.5 x  15.5 cm, 2022)

Né en 1987, David PORET vit et travaille à Liège. Après une formation en Illustration à l’ESA Saint-Luc Liège, il a développé une pratique de dessinateur durant plusieurs années. En 2021, il a obtenu un master en gravure aux Beaux-Arts de Liège (atelier de Maria Pace).

En 2021, il remporte le prix du jury dans le cadre du prix de la gravure au Centre de la gravure et de l’image imprimée (La Louvière). En 2022, il expose à L’espace jeune artiste du Musée de la Boverie (Liège)

Il est aujourd’hui professeur à Saint-Luc Liège.

“Le travail de David Poret témoigne d’une envie de conserver et de transmettre un souvenir – en dépit de son caractère irrévocablement éphémère – et de celle d’expérimenter l’érosion du temps et l’effacement qu’il provoque à travers la matière. […] des images imprimées au bleu de cobalt sur porcelaine, retraçant un voyage à la mer qui s’efface petit à petit. Référence aux scènes de genre et paysages illustrant les carreaux de Delft, l’œuvre tend, par son support, vers la persistance d’un instant volatil. […]”

(d’après Céline Eloy – Exposition à Espace jeune artiste, La Boverie, Liège)

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STESSEL : Fusion (2020, Artothèque, Lg)

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STESSEL Lore, Fusion

(photographie, 20 x 26 cm, 2020)

Lore STESSEL est née en 1987 à Louvain, où elle vit et travaille. Après un master en Beaux-Arts, section peinture, à Saint-Luc à Bruxelles (2009), elle a suivi un master à l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie à Arles (2012). Dès 2009, elle participe à de nombreuses expositions personnelles et collectives.

Elle a reçu le prix Louis Rouder en 2012 ainsi qu’une bourse du gouvernement flamand en 2020 pour autoéditer sa première monographie The Body Will Thrive (Le corps prospérera).

Le travail de Lore Stessel traite souvent des gens, avec une attention particulière au corps. Elle aime les actions quotidiennes, les petits gestes, et surtout la grâce du mouvement. Une grande partie de son œuvre a comme sujet des danseurs.

Cette photographie figurait sur l’affiche de la Xème biennale de photographie en Condroz (Nouvelles vagues, 2021), où l’artiste exposait. Elle est également présente dans son livre The Body Will Thrive.

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LE BRUN : Sans titre (2002, Artothèque, Lg)

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LE BRUN Olivier, Sans titre

(photographie argentique, 40 x  50 cm, 2002)

L’activité photographique d’Olivier LE BRUN est menée en parallèle à une activité de consultant socio-économiste et d’enseignant chercheur dans les universités de Louvain (Belgique), du Sussex (UK) et de Nanterre (France).

Son travail l’a amené à effectuer de nombreux voyages durant lesquels ses temps libres étaient consacrés à la découverte du monde, accompagné de son fidèle Leica argentique. Olivier Le Brun a publié de nombreux ouvrages, notamment aux éditions Yellow Now et Esperluète.

“Comme un révélateur, c’est l’imaginaire de l’enfance qui nous accompagne, le plaisir du jeu gratuit que j’ai collecté sur une vingtaine d’années dans tous les coins de la planète.” (O. Le Brun)

“Nous sommes ici dans l’école primaire de Pouvourville. Pendant plusieurs années je suis venu y présenter des photographies d’Afrique invitant les enfants à les commenter par écrit. J’ai saisi ces occasions pour me mêler à la vie de l’école J’y ai capté la joie de ce groupe de copines dansant bras dessus bras dessous.” (O. Le Brun)

Cette photographie fait partie du livre Jouer ! (Esperluète éditions, 2020).

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LEMAIRE : La venue des barbares (2018-2023, Artothèque, Lg)

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LEMAIRE Guy, La venue des barbares

(photographie retouchée, 40 x 40 cm, 2018-2023)

Autodidacte malgré un bref passage à l’ESA Saint-Luc de Liège, Guy LEMAIRE (né en 1954) est un peintre, photographe, sculpteur et vidéaste, qui a été baigné très jeune dans l’univers artistique. Son travail est influencé par des photographes comme Witkin, Mapplethorpe, Gatewood. Il s’intéresse aux mondes undergrounds, aux gens qui vivent en marge de la société, ainsi qu’aux arts primitifs (principalement l’art aborigène). Sa peinture s’apparente au néo-expressionisme allemand, avec de nombreuses références tribales.

Il a fait de nombreuses expositions, en Belgique et à l’étranger (Tokyo, Cologne, Milan, Amsterdam…) et est présent dans différentes collections (Cabinet des Estampes de la BNF à Paris, Collection Paul Harden (Saatchi & Saatchi) et Musée Ken Damy à Milan).

Défenseur des libertés individuelles, opposé à toute censure, et désireux de montrer toutes les facettes du monde dans lequel on vit, Guy Lemaire photographie des personnes qui ont des modes de vie “différents” de la société bien-pensante. Par ailleurs très intéressé par les rites tribaux, il s’est intéressé à l’art du shibari qui, avant de devenir une pratique à connotation sexuelle dans notre société occidentale, est un art martial japonais. Ces photographies constituent une grande partie de son travail.

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RENARDY : Sans titre (2022, Artothèque, Lg)

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RENARDY Lisbeth, Sans titre

(digigraphie, 40 x  30 cm, 2022)

Née à Liège en 1980, Lisbeth RENARDY a effectué ses études d’illustration à l’ESA Saint-Luc, dans sa ville d’origine. En 2010, lauréate du concours de la FWB, elle effectue un séjour de recherche graphique au Canada.

Dès 2003, elle publie son premier album pour la jeunesse chez Alice Éditions. Elle compte aujourd’hui une dizaine de livres à son actif et est reconnue comme une valeur montante de l’illustration jeunesse en Belgique.

Cette illustration est issue de la série “La collection”.

L’univers de Lisbeth Renardy est marqué par la rêverie et la nature. L’artiste met volontiers en scène des animaux, anthropomorphisés ou non, exposés à des univers sauvages a priori inconnus, à différentes émotions et à des situations inédites dont ils doivent se dépêtrer. 

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HAUGOMAT : L’architecte (s.d., Artothèque, Lg)

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HAUGOMAT Tom, L’architecte

(digigraphie, 40×60 cm, s.d.)

Né à Paris en 1985, Tom HAUGOMAT s’intéresse rapidement au dessin et à son potentiel narratif. Après une année d’études en histoire de l’art et archéologie, il s’oriente vers une préparation artistique. C’est à l’Ecole des Gobelins en section “Conception et réalisation de films d’animation” qu’il se découvre une passion pour l’image en mouvement. Il y rencontre Bruno Mangyoku, un jeune dessinateur avec qui la conception du projet de court-métrage Jean-François (Arte, 2009) se fait naturellement. Il espère pouvoir continuer à développer un univers en illustration et à réaliser des films d’animation en mixant les techniques.

Il a participé à de nombreux livres pour enfants et adolescents, avec des illustrations sont très simples, très graphiques, un peu dans l’esprit des années 1950-1960.

Le style de Tom Haugomat est assez minimaliste. Il concentre généralement l’intention sur un détail et laisse ensuite le vide jouer son rôle de mise en exergue. Tout en utilisant une gamme de couleurs très réduite, il parvient à donner de la profondeur à son dessin. Ses formes en masses et ses jeux de superpositions, bien que travaillées digitalement, invoquent presque intentionnellement la technique de la sérigraphie qu’il apprécie énormément et qu’il utilise même dans son livre Hors-Pistes (Thierry Magnier, 2011).

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CONTI : Genesi (2016, Artothèque, Lg)

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CONTI Sara, Genesi

(sérigraphie, 44 x cm, 2016) 

Artiste belge d’origine italienne, Sara Conti (née en 1971) est diplômée de l’Ecole supérieure des Arts plastiques et visuels, à Mons.

Elle s’est fait connaître par ses collages urbains de matriochka, distribués de façon métronomique. Titanesque travail esthétique que celui qui va l’occuper plus de dix années durant. L’artiste, méticuleusement, prépare en atelier, réalisés au dessin vectoriel puis découpés avec soin, plusieurs centaines de collages-papier, qu’elle affiche chaque semaine avec une régularité sans défaut, souvent le dimanche matin.

Ses œuvres nous parlent principalement de la condition féminine. (d’après SARACONTI.NET)

Les œuvres de Sara Conti vont à l’essentiel. Elles se caractérisent par l’emploi de la ligne claire et l’esprit de synthèse, c’est-à-dire un fait et une idée par dessin.

Cette œuvre fait partie d’une exposition collective Dendromorphies – Créer avec l’arbre, organisée en 2016-2017 à Paris sous la direction de Paul Ardenne. Sara Conti avait choisi de revisiter le concept de l’arbre de vie, en représentant une femme accouchant d’un arbre.

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ERRÓ : Sans titre (2012, Artothèque, Lg)

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ERRÓ, Sans titre

(sérigraphie, 65 x 50 cm, 2012)

Né en 1932, ERRÓ, pseudonyme de Guðmundur Guðmundsson, est un peintre et graveur islandais Il étudie l’art en Islande, puis en Norvège et en Italie. Il s’installe à Paris en 1958 où il rencontre des artistes, des écrivains et des critiques liés au mouvement surréaliste. Il est le cofondateur du mouvement pictural de la figuration narrative en France.

En 1986, il représente l’Islande à la Biennale de Venise. En 1989, il fait une donation d’œuvres d’art et d’archives personnelles à sa ville de naissance, Reykjavik. De renommée internationale, il a exposé dans de nombreux pays dès les années ’60.

Depuis 2013, Erró travaille l’aquagravure, une technique d’estampe en bas-relief.

La figuration narrative est un mouvement artistique apparu, principalement dans la peinture au début des années 60 en France, en opposition à l’abstraction des années 50 et aux mouvements contemporains du nouveau réalisme et du pop art, auquel elle est néanmoins associée.

L’univers artistique d’Erró est inspiré par la bande dessinée. On voit dans cette sérigraphie une accumulation d’éléments figuratifs détachés de leur contexte jusqu’à la prolifération délirante.

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MALADITA : Les fleurs du mal (2021, Artothèque, Lg)

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MALADITA, Les fleurs du mal

(émulsion photosensible sur pierre bleue, 40 x  19 cm, 2021)

MALADITA est un duo d’artistes formé par Aurélie Bay et Nathalie Hannecart. Aurélie Bay est une artiste plasticienne, son travail s’articule essentiellement autour de la sculpture et de la performance. Elle conçoit des installations dans des espaces donnés qui témoignent d’actes physiques impulsifs et pulsionnels. Nathalie Hannecart travaille la photographie argentique, les procédés photographiques alternatifs et anciens tels que le cyanotype, l’émulsion photosensible et le sténopé.

De la production de fanzines aux collages dans l’espace public, de la photographie argentique à l’émulsion photosensible sur pierre bleue, de l’installation à l’intervention, leur travail interroge les normes et les limites répressives. (d’après PLACE-O-ARTS.BE)

Aurélie Bay propose des installations directes, sans filtre ni convenance, à l’image d’un geste physique fort, intuitif et spontané.

Les images de Nathalie Hannecart voyagent au gré des sujets sous des formes et des matières multiples (tissus, collage urbain, pierre bleue…). Elle explore également la question du féminin et du corps, en rapport à la mémoire, la temporalité et la finitude.

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BLANCBEC : Alien (2022, Artothèque, Lg)

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BLANCBEC, Alien

(digigraphie, 60 x 60 cm, 2022)

Artiste bruxellois autodidacte, BLANCBEC a pris du galon dans le monde du graffiti avant de découvrir des affiches peintes à la main et collées sur les murs des rues de Barcelone. Une véritable révélation qui l’a poussé à tourner la page vers des personnages aux formes géométriques audacieuses, parmi lesquels des oiseaux qui deviendront le personnage central de son travail. Depuis 2003, opérant sous le pseudonyme de Blancbec, il travaille dans les rues avec des oeuvres époustouflantes représentant des protagonistes originaux dans une gamme de couleurs brillantes qui est reconnaissable immédiatement.

“Ici comme dans ses compositions monumentales à la bombe aérosol, on retrouve l’ « écriture » géométrique, des couleurs éclatantes et une exécution impeccable […] Seuls les aficionados des séries américaines des années ‘90 comprennent qu’I want to believe est la formule imprimée sur le poster visible au-dessus du bureau de Fox Mulder, l’agent du FBI asocial, parano, complotiste et vedette d’X-Files – Aux frontières du réel.” (Pierre Henrion)

“Comme toujours dans mon travail, il y a une histoire et des symboles. […] Le symbole du passage vers l’âge adulte ou celui de l’enfance qui est toujours là.” (Blancbec)

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BANDIE : Portrait dans la piscine (2021, Artothèque, Lg)

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BANDIE, Lyoz, Portrait dans la piscine

(photographie, 50 x 33 cm, 2021)

Originaire de Tours en France, Lyoz BANDIE (né.e en 1994) y étudie le droit pendant plusieurs années avant de venir s’installer en Belgique pour entamer des études artistiques.

Iel est diplômé.e avec grande distinction de l’École supérieure des Arts Saint-Luc de Liège en 2021, publiant à l’occasion de son jury et en autoédition un premier projet de son livre, témoin de la quête de son nouveau prénom. Jeune photographe queer, Lyoz questionne le genre dans un cheminement éclectique et pluridisciplinaire. Une recherche sensible vers de nouvelles libertés…

“ « La peau du prénom » est l’histoire de ma poursuite obsessionnelle d’un nouveau prénom, étape essentielle à mon cheminement et à ma transition sociale. C’est le témoin d’un questionnement de genre, qui d’une forme plurielle et éclectique, raconte un parcours queer non binaire. Une histoire intime et sensible, un coming out, un plongeon entre les genres, invitant chacun.e à interroger cette construction sociale…” (Lyoz Bandie)

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COLARD : Portrait de A (série Draga, 2021, Artothèque, Lg)

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COLARD, Marion, Portrait de A (série Draga)

(photographie et dessin sur papier calque, 70 x 50 cm, 2021)

Marion COLARD est née à Liège en 1992, elle vit et travaille à Bruxelles. 

Après un master en Animation Socio-culturelle et Education à l’IHECS, elle obtient un certificat formation continue en Médiation culturelle à l’ULB.

En 2015, elle réalise son stage de fin d’étude en Roumanie. C’est le point de départ d’une recherche sur les différentes manières de montrer les réalités vécues des personnes Roms.

Cette artiste aborde des questions sociétales avec une démarche multidisciplinaire. Elle s’intéresse aux histoires des personnes en marge de la société, elle “cherche à faire émerger la beauté brute et la force de celleux qui se construisent à l’écart. Trouver une magie au milieu d’un chaos, souvent systémique”.

“Ma démarche artistique est centrée sur les rapports interpersonnels et subjectifs, mon travail se construit de la même manière que je vis mes expériences : intensément, collectivement et de façon multiple.” (M. Colard)

Lors d’une résidence en Roumanie (2021), Marion Colard a organisé avec des groupes d’enfants, des ateliers artistiques pour questionner l’identité. Les œuvres qui en sont ressorties proposées font partie de la série “Draga” (“Ma chérie” en roumain).

Elle a demandé aux enfants de dessiner ce qu’ils aimaient et détestaient. Celui-ci a répondu qu’il aimait la lune et la fumée dans la maison et qu’il détestait les clowns qui mangent les oignons.

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BLEXBOLEX : La Fêlure I/IV (2009, Artothèque, Lg)

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BLEXBOLEX, La Fêlure I/IV

(sérigraphie, 45 x 45 cm, 2009)

Né en 1966, BLEXBOLEX (Bernard Granger), artiste français, vit à Leipzig, en Allemagne. Après un passage aux Beaux-arts d’Angoulême, il découvre la sérigraphie et apprend les techniques de l’édition sur le tas. Directeur de collection chez Cornelius, il lance les collections Lucette et Louise. Depuis 2006, il travaille à une œuvre importante autour de l’imagier : L’imagier des gens, qui a reçu “Le prix du plus beau livre du monde” à la Foire du livre de Leipzig, Saisons et Romances. Ce triptyque s’impose comme un chef d’œuvre de l’édition jeunesse.

Dans ses livres graphiques, Blexbolex utilise diverses techniques, toujours avec minutie. Son style rappelle les polars des années 1950-1960, avec un graphisme et un chromatisme très marqué évoquant la technique du pochoir.

Cette sérigraphie fait partie du livre La Fêlure (éd. Ouvroir Humoir, 2009), un récit graphique rythmé en 24 planches. Un détective se trouve confronté à des événements faisant irruption sans raison. L’intrigue de ce petit précis de mécanique graphique échappe ensuite aux règles de narration classique. Une mise en scène décalée dans laquelle excelle l’auteur.

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SASEK : Piccadilly Line (1959, Artothèque, Lg)

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SASEK Miroslav, Piccadilly Line

(digigraphie, 50 x 40 cm, original 1959)

Miroslav SASEK est né en 1916 à Prague, dans l’ancienne Tchécoslovaquie. À la fin des années 1930, après des études d’architecture, il commence à produire des illustrations pour des journaux et des albums jeunesse.

En 1947, il part à Paris pour étudier aux Beaux-Arts puis s’installe à Munich comme illustrateur et peintre. Durant les années 1960, il entame une série de livres illustrés qui comprendra plusieurs capitales ou pays, ouvrages qui rencontreront un succès international et seront couronnés de plusieurs prix. Quatre de ces 18 albums seront adaptés en dessins animés. Miroslav Šašek disparaît en 1980, en Suisse.

Cette reproduction est tirée de l’ouvrage sur Londres (This is London), paru en 1959.

Elle représente les usagers attendant en sous-sol l’arrivée du métro. La ligne de fuite et les courbes sont exagérées, donnant une impression de torsion de l’ensemble.

Les illustrations de Sasek sont typiques du style graphique des années ’60. Les lignes sont simples, les couleurs tranchées. Les dessins sont pleins de charme et d’humour, riches en détails et accompagnés de courts textes.

Et pourquoi pas emprunter cette oeuvre gratuitement à l’Artothèque de la Province de Liège ? N’attendez plus, foncez au 3ème étage du B3, le centre de ressources et de créativité situé place des Arts à B-4000 Liège…

[INFOS QUALITE] statut : actualisé | mode d’édition : compilation (droits cédés) et mise à jour par wallonica.org  | source : Artothèque B3 | commanditaire : Province de Liège – Culture | contributeur : Philippe Vienne | crédits illustrations : © Miroslav Sasek ; radio.cz | remerciements à Bénédicte Dochain, Frédéric Paques et Pascale Bastin

COLON : Lignes de faille (2018, Artothèque, Lg)

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COLON Ariane, Lignes de faille

(photographie argentique, 19 x 19 cm, 2018)

Ariane COLON a fait des études d’assistante sociale puis de sociologie. Après 11 ans de sa vie consacrés à accompagner les publics fragilisés (secteur associatif et milieu carcéral), elle entame son parcours photographique tout en continuant son travail. En 2002, elle s’inscrit à l’Atelier Créatif de photographie N&B argentique organisé par le Centre Culturel de Namur (sous la direction de Baudoin Lotin) et elle s’équipe d’un réflex 24×36 CANON AE1 ; 20 ans plus tard, ce dernier est toujours son fidèle compagnon. Plus tard, un appareil photo Diana F+, acquis pour 8 euros, va lui ouvrir les horizons débridés de la Lomography.

Avec 4 autres photographes, elle crée le collectif Filtre 2 , principalement dédié à la photographie analogique argentique.

La série Grise Mine a été photographiée dans la région de Douchy-les-Mines, dans le nord de la France.

“C’est un de ces pays noirs qui vous cueille avec les stigmates de son passé de profondeurs, de labeur, d’exploitation (des mines et des hommes) : terres, maisons, visages, atmosphère… tout y est d’abord (première vue et approche) gris. […] Mais “pas que” pour qui sait y voir. […] Une communauté de vie, de foi, de larmes certes parfois, mais aussi de la fierté, de la gouaillerie, et de la joie. C’est en tout cas ce que j’ai perçu, senti, ressenti, en arpentant ces lieux et c’est la trace que j’ai cherché à en garder et à montrer.” (A. Colon)

Et pourquoi pas emprunter cette oeuvre gratuitement à l’Artothèque de la Province de Liège ? N’attendez plus, foncez au 3ème étage du B3, le centre de ressources et de créativité situé place des Arts à B-4000 Liège…

[INFOS QUALITE] statut : actualisé | mode d’édition : compilation (droits cédés) et mise à jour par wallonica.org  | source : Artothèque B3 | commanditaire : Province de Liège – Culture | contributeur : Philippe Vienne | crédits illustrations : © Ariane Colon ; pixfan.com | remerciements à Bénédicte Dochain, Frédéric Paques et Pascale Bastin

BEAUCHARD, dit DAVID B : Mon grand-père au front (2017, Artothèque, Lg)

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BEAUCHARD Pierre-François dit DAVID B, Mon grand-père au front

(lithographie, 65 x 80 cm, 2017)

Né à Nîmes en 1959, DAVID B, nom de plume de Pierre-François Beauchard, vit et travaille à Bologne. Il est l’un des fondateurs de la maison d’édition L’Association, qui renouvela les codes de bande dessinée française au début des années 1990. Après des études d’Arts Appliqués à Paris, David B. publie ses premiers dessins dans différentes revues. Ses carnets de rêves, ou plutôt de cauchemars, publiés par L’Association, attirent l’attention. Entre 1996 et 2003, il créé “L’Ascension du Haut Mal”, série autobiographique consacrée notamment à la maladie de son frère aîné, l’épilepsie. En une quinzaine d’années, il se retrouve à la tête d’une bibliographie abondante comptant plus d’une soixantaine d’ouvrages, dont certains en tant que scénariste.

Cette lithographie nous présente une scène de guerre. Des petits soldats terrifiés se cachent parmi des débris de tranchées. Au milieu de ce chaos semble trôner le grand-père de l’auteur. A la place de son visage, une forme noire ressemblant à une faux… peut-être la faux de la mort.

Le thème de la mort est très présent dans l’ensemble du travail de l’artiste. David B. l’explique par son enfance marquée par les crises d’épilepsie de son frère; chaque crise étant vécue comme une petite mort. (d’après MELPUBLISHER.COM)

Et pourquoi pas emprunter cette oeuvre gratuitement à l’Artothèque de la Province de Liège ? N’attendez plus, foncez au 3ème étage du B3, le centre de ressources et de créativité situé place des Arts à B-4000 Liège…

[INFOS QUALITE] statut : actualisé | mode d’édition : compilation (droits cédés) et mise à jour par wallonica.org  | source : Artothèque B3 | commanditaire : Province de Liège – Culture | contributeur : Philippe Vienne | crédits illustrations : © David B ; benzinemag.net | remerciements à Bénédicte Dochain, Frédéric Paques et Pascale Bastin