“Marre des chanteuses aux propos sombres et dépressifs ? De la drague conquérante aux odes masturbatoires, des invitations explicites aux déclarations érotiques, voici seize chansons qui célèbrent le sexe, la jouissance et le désir à la première personne et au féminin.
Après tout un hiver à fredonner les noires mélopées de nos nouvelles chanteuses préférées, on tournait un peu en boucle sur la mort, la solitude et l’angoisse. Entre Fishbach (« Comment allez-vous ? Toujours aussi mal, je l’avoue »), La Féline (« La vie t’abandonne ») ou Clara Lucciani (« Dis-moi pourquoi je sombre dans des ombres »), les filles de la nouvelle vague semblaient naviguer dans des eaux mystérieuses et glacées. Et puis, changement radical de registre avec ce titre de Juliette Armanet : Je te sens venir en moi. Saluée pour son premier album, Petite Amie – certes lui aussi plutôt mélancolique –, la chanteuse se fait remarquer pour cette adaptation du tube I feel it coming, de The Weeknd…”
Plus de presse…
- Comment se forment les crottes de nez ?
- Journalisme : un correspondant flamand aux Etats-Unis sonne l’alerte
- «Ugly Belgian Houses», le livre et le site qui compilent les audaces architecturales en Belgique
- Kombucha : description, origine et recette
- ARNO : Trump et le Brexit, c’est la faute des coiffeurs !
- Les femmes dans le monde viticole
- LOGIST : Tout emporter. Poèmes 1988-2008 (2008)
- Le Washington Post se dote d’un slogan fort : “La démocratie meurt dans l’obscurité”
- WATTS : J’ai détesté les années 60 et 70 (1998)
- Récit d’une vie : Frank Lloyd Wright, l’archi-révolutionnaire
- ISTA : Li boukète èmacralèye (1917)