“L’artiste écossaise Caroline Walker (née en 1982) met les femmes invisibilisées au centre de son œuvre. Elle s’intéresse tout particulièrement aux métiers principalement portés par les femmes, comme les métiers d’entretien, les coiffeuses, les manucures, souvent sous-représentés et sous-évalués.

Après s’être inspirée de photos qu’elle a mises en scène, elle décide de parcourir Londres et, avec une approche plus documentaire, de capturer ces moments sur le vif.

En 2017, l’artiste réalise une série de tableaux pour l’association Women for Refugee Women, sur les femmes réfugiées et demandeuses d’asile.” [WOMENWHODOSTUFF.COM]
- Pour en savoir plus, visitez le site web de l’artiste CAROLINEWALKER.ORG
- L’illustration de couverture : ©carolinewalker.org
Plus d’arts visuels…
- Orsay, nouveau temple des peintres Nabi
- FAITS DIVERS : Pourquoi Jens Haaning a-t-il fui avec les 70 000 euros qu’il devait exposer ?
- ERBELDING : Hawaï 4 (s.d., Artothèque, Lg)
- GOUSSET : Blue Outremer (2012, Artothèque, Lg)
- VRUNA : Limites (2003, Artothèque, Lg)
- THONART (Cléa) : aquarelle
- GOOSSENS : Errance 13 (2012, Artothèque, Lg)
- BEAUCHARD, dit DAVID B : Mon grand-père au front (2017, Artothèque, Lg)
- Orange
- JACQUES : Sans titre (Grand bestiaire) (2007, Artothèque, Lg)
- LAOUREUX : L’art abstrait au prisme de la Wallonie. Un point de vue (2015)